"Costume de l’oiseau aux ailes dorées" témoigne de possibles échos entre histoire de la danse et pratique de la danse.
"Costume de l’oiseau aux ailes dorées" démontre qu’il n’existe aucune incompatibilité entre le passé et le présent, aucune limite dans les possibilités de réappropriation des travaux d’artistes disparus, et jamais aucune poussière sur les œuvres.
L’œuvre en danse, c’est l’esprit de la danse. L’esprit de la danse, sans mémoire, meurt. Au-delà d’une vie, la mémoire, sans l’archive, se perd. Et l’archive elle-même, sans être exposée, est vouée à l’oubli.
"Costume de l’oiseau aux ailes dorée" est la fleur de la présence d’un rêve de continuité entre création et recherche et entre recherche et partage avec le public ; sa trace, rare et précieuse.